Le Prince ! ♛



 
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Le Prince ! ♛
Mar 7 Avr - 19:35
Le Prince ! ♛

Code © BLN Echoes of Silence


WOO JI HO

état de la fiche / en cours


nom/prénom : Woo Ji Ho
Âge : inconnu [estime 16-17 ans]
Taille : 1m65
Poids : 48 kg
Origine : Coréenne/Russe

Orientation sexuelle : inconnue
Force physique : Faible sans son pouvoir
casier judiciaire : Vierge. [Son cas est particulier.]
Particularités : [3 points abordés, lire les descriptifs]



traitements

Des médicaments psychotropes contre les troubles schizophréniques ou les troubles bipolaires. Forte addiction aux médicaments, mais aussi à la morphine, les somnifères. Tendances suicidaires, obsession pour la mort. Hypocondriaque. Ingurgite toute sorte de médicaments, aucun ne font d'effets sur le patient.

A ce jour
: Ne suit plus aucun traitement.  Guérison ? Raisons inconnues jusqu'à ce jour. Le patient après avoir avaler de l'Arcoxia, Mepronizine, Ritaline, Stablon, Tofranil, Prozac, Terfluzine.... aucune réaction, qui aurait du conduire le patient en temps normal à la mort.


groupe/pouvoir

Le Prince.
Création de dimensions. Il a tendance à se perdre dedans et oublier la réalité, son trouble identitaire est lié à cet autre monde qui comporte « un autre lui » . Se manifeste la voix de cet autre qui lui susurre de rester à tout jamais avec lui, dans ce monde cauchemardesque… S’emboite des labyrinthe psychologies, qui le conduiront un jour à sa perdre à tout jamais dans ses propres mondes. Abusant constamment de son pouvoir jusqu'à son extrême, le déclenchant lorsque les songes l’emporte ; si vous êtes à moins d’un mètre de lui vous pouvez sombrer dans son monde. Les effets peuvent êtres dévastateurs ; envoutants, mais dans bien souvent des cas mortel.


descriptif physique
Savez-vous ce qui peut amener l’ivresse intense, la corruption, la démesure, l'affreuse immortalité qui réside dans la beauté ? Description d'un tableau de Dorian Gray, s’envoûtant de sa propre beauté idolâtrée du petit peuple avide de corruption. Chères dames, gente demoiselles caractérisées par la luxure pécheresse coulant dans vos veines ; voyez-là main du diable posée sur ce Narcisse si imbus de lui-même... Woo Ji Ho l'appelle t-on. La flamboyante couleur blonde vénitienne de ses fins cheveux se conçoit dans l’entretient méticuleux qu'il porte à son amour propre. Manucure soignée, chaque parcelle de sa peau semble ensorcelé par la divination des Dieux. L'oracle n'avait pu prédire qu'un tel démon sortirait de la cuisse de Lucifer, lèvres fines, parfaite adéquation avec toutes ses représentations. Gracieux visage androgyne, perturbation de quelques mèches parfois rebelles, recouvrant ses pupilles intense dans son éclat d'émeraude, livide d'attention distincte, d'humanité pourtant  fascinante d'ordinaire. Au contraire en ce cas, si indéfinissable, subjuguant, d'obsessionnelle. Amertume d'une incompréhension mortelle, Ji Ho songe dans son propre reflet. Douceur laiteuse, concurrençant la belle Aphrodite sortant des eaux.  Priant ce qu'il convoite, ce physique aux aguets pour l'élévation de ces pêchés sommeillants en eux. S'exalte la jalousie et l'envie, luxure bercée par les consciences immorales ; bafouées à tout jamais. Quant est-il de ce masque d'innocence qu'il porte avec tant d'aisance ? L'aristocratie lui va comme un gant. Ample, ou embrassant ses formes en l'occurrence d’adolescent, et pourtant si attrayantes... Ce charme le portant jusqu'au cocon de l'amour, bénissant la cruelle perversion blanchie d'une épaisse poudre blanche. Ah si seulement ça se pouvait ! Malédiction du fin malin, s'incarnant dans l'angelot se reposant dans les bras d'une mère aimante ; l'amour à jamais persécutée. Quant est-il de la crasse asphyxiante nullement perceptible ? Il n'en est pas moins que l'âme puante de « Une Charogne » de Baudelaire le rongera à jamais...


descriptif psychologique
◊ Qui est Ji Ho ? Le principal souci, c’est qu’il n’y a pas d’age pour être mort. C’est ainsi que qu’il chute dans sa propre image. Sans lassitude de n’entendre que le timbre de sa voix prononcer ces : « Ji Ho, oh mon beau Ji Ho mais qui est Ji Ho ? »  L’acte n’est plus que perfidie, l’étang avait raison de recevoir la punition de l’amour noyée ! Mais alors, il en reste toujours l’éternelle question de l’identité. Ce repère n’est qu’un blasphème corrompu jusqu’a la moelle, hélas les interdictions n’ont pas su raisonner avec la morale. Manquant d’empathie, depuis l’enlacement perfide de ce pact diabolique… L’emprunte du diable raisonne dans son âme, s’en abreuvant peu à peu ; jusqu’a ce qu’il n’en reste plus une goute. De qui vouliez-vous parler, de cet enfant amoureux de sa mère ou de ce démon qui s’en est joué ? L’air s’infiltre dans vos poumons comme le charabia démoniaque du plus grand des pécheurs. Souriez-lui, son heure sonne l’apéritif, la potence acclamant l’anti-christ !


◊ Complexe d'Oedipe. « Tu épouseras ta mère et tu tueras ton père », Freud l’explique si bien, le ça, reflétant l’inconscience de l’homme, les instincts interdits s’animent dans un chaos de désirs refoulés au fin fond de nos entrailles… Les pulsions ne s’écouleront jamais dans le temps ; aucune conforme social de l’état n’existe ; tout est éternellement sans fin temporelle… Le surmoi n’a jamais su se manifeste, tel l’enfant capricieux impoli de son audacieux « non » !  Protestant l’imperturbable voix lui sonnant l’interdit. La morale n’a jamais agit sur lui, dans sa tonalité autoritaire ; celle qu’on ne comprend pas. Ji Ho n’a que le désir de la beauté de son complexe, affranchi d’une psychose affirmant le décès de son paternel. Le mensonge voile son beau visage, les ombres défilent sans que la raison n’embrasse son esprit ; pour habiller l’infâme laideur de cet enfant d’une enveloppe charnelle séduisante. « L’amour d’un enfant pour sa mère n’a jamais été chamboulée de désirs charnels ! » - « Oui, mais c’est sa beauté qu’il aime. » aurait-il pu vous dire, enfilant la tenue de diable pour valser avec lui une première fois, une dernière fois…  


◊ Personnalité. Il est très hautain et narcissique. Il n'aime que lui, et ne fait part de sa mélodieuse voix que très rarement. Pourquoi ? Parce qu'il est obsédée par sa propre personne. Les autres n'existent pas à ses yeux, il les ignores. Oubliant le monde réel pour vivre dans ses dimensions. Il dort énormément, aime la solitude et profite du silence qu'il laisse régner autour de lui. En plus de ça, il est très maniaque et très pointilleux. Il hais la souillure, il trouve les autres impurs et des plus sales. Ne vous étonnez pas si vous le voyez violent par moment, bien qu'en général il paraît très calme. Garde à vous si vous osez le salir ou même le toucher ! Ça ne fait pas beaucoup de qualité vous me direz... Et bien, on aime quelqu'un pour ses défauts non ? Cherchez toujours peut-être que vous trouverez une bonne chose chez lui ! Une dernière chose, méfiez-vous de ses sourires, ils sont souvent remplis de mauvaises intentions.


◊ Gastronomie. Toute nourriture est cuisinée par ses soins pour sa seule et unique personne. Il ne se mélange pas aux autres, alors pourquoi mélangerait-il ses plats avec eux ? Le thé et des biscuits secs sont tout aussi sacrés, sonnant à 16h frappante l'heure du goûté.


◊ Hypocondriaque. Paranoïa intense à la contamination, bactéries, le contact humain n'est qu'une fable  impensable à ses beaux yeux. La suite logique de ses idées tortueuses le plonge dans l’ignominie de l'auto dissection propre à un seul et unique objectif ; se dépêtrer de ces résidus bondés d’impureté. La cause n'est que le 'reste' ; ce tempo respiratoire façonne sa sensibilité nauséeuse au contact des autres, ce même souffle qui a l'audace de frémir, s’excité de tout ses battements le révulse à son extrême ! L'air est siens ; le Prince foudroie l’exécrable 'imperfection' d'un corps qui gémit au soleil levant, toujours ces réactions trop « humaines », nuisibles à sa magnificence incommensurable.


◊ Dream. L'absence temporelle garantie une incapacité à s'adapter aux normes. Sociabilité bannie durant ses heures d’hibernation dans le pays des rêves. Qui plus est, son pouvoir marque le second coutre coup d'une énergie évanouie, qui le fait chavirer dans des dimensions imaginaires, semblables à celles d'Alice au pays des merveilles. Des années peuvent s'écouler sans que la « belle au bois dormant » n'ouvre les paupières, et ironique à tout cela, son corps rajeuni.


Histoire du futur patient
Mère... pourquoi ne pas avoir rejoins père parmi les anges tant qu’il en était encore temps ?  Bonheur... Joie convulsive, je me souviens de cette mère larmoyante depuis l’abandon de ce père biologique… Qui aimerait le désarroi de la vieillesse ? Cette femme priant jour et nuit un Dieu sourd à ces détresses… Ce conte ne laissera aucune place pour le pardon ; et moi ! Insouciant gamin, j’en écoutais les déboires sans émettre le moindre son. Quel pêcher serait plus abominable que l’adultère qu’il aurait du confesser ? Corrompu par la richesse de sa femme légitime ; mère qu’elle idée de t’éprendre d’un amant compromis à une autre ? «  Quitte-là… Quitte-là » s’il te plait, ce silence n’a jamais autant meurtrie mon coeur. Mère ! Pourquoi, ne suis-je qu’un homme, ceux dont la haine t’anime même en ce soir, Noël se fête en famille ; l’homme de ton obsession n’aime que tes cruels charmes dont-ils sont tous épris… Mon factice père ne reviendra jamais, ce véritable démon se délecte de ton insuffisance ; sale chienne il ose t’appeler...

Mère, mère j’embrasserais les crimes les plus perfides pour te revoir sourire… Souillant ton corps d’année en année, ce père abjecte t’achetant pour une poignée  d’argent ; de son sourire moqueur s’étire les vices de la corruption. Sous ses ordres j’ai servi et obéis à ce démon pour un beau chèque cadeau. Misère épargnée en échange d’un supplice corporel, quel pêcher serait plus immondice que l’abus sexuel sur son enfant qu’il aurait du confesser ? Mère, la maladie te ronge ; payer les frais de ton hospitalisation m’a contraint à vendre nos bien matériaux. Mère, Elle, disait, « au lieu de saccager ma si belle maison, vends toi pour la mère qui a tant fait pour te nourrir. » Je ne comprenais pas, je subissais cette abomination sans t’en faire par mon âme chagrinée. Sans la moindre rancœur, sans même penser en mal de sa personne. Ses effroyables larmes suffisant à mon malheur, culpabilisant la tyrannie marchande de ma si belle mère. Tout ça, c’est de sa faute à lui ! Vois donc ce fou mère, ce n’est qu’un bon à rien à jeter dans les flammes de l’Enfer !

Beauté opaline, ton fils aime sa mère infecte. Allez, mère regarde ton fils adoré est là ! Ses phalanges caresse les liages vénitiennes fatiguée de tant de maladie. Ce corps endormi dans ces draps blancs ; condamné à un amour assassin. L’argent amassé t’en réjouis de me voir si doux ; docile enfant vendu pour les beaux yeux de cette diablesse qui m’a si bien élevé… N’en tiens pas grâce, notre homme est le fruit de nos pêchés que nous avons tant choyer. Allez mère embrasse la joue de ce fils satanique ! Enjoué de cette perversion addictive ! Sais-tu combien j’en ai accepter en moi pour récolter tout cet argent ?! La dulcinée sommeillant de sa splendeur, sourde à l’aveu de son enfant si attristé…

Père, ce métier qui te glorifie de tant d’honneur allait maintenant te pardonner de tes innombrables pêchés. Allez, sauve ta bien aimée ! Le combat contre la montre ; ma déesse s’en remet à la prophétie. Ce véritable père qu’elle a quitté pour ce père perfide va guérir ma catin de mère ! Elle va sombrer dans les abysses de cette trahison infâme ! Pourquoi maman as-tu décidé un beau jour de délaissé ton enfant pour un être si imparfait ? La douce pensée des fils coupés sous les lames ; c’est si outrageant ce liquide ce déversant pour la toute dernière fois. Se peut-il que notre relation se termine si poétiquement, tragique femme ; dans ses yeux si reflétant ma propre beauté. Mère je t’ai tant désirée ; aimé, que ton âme sera mienne à tout jamais. Scalpel vacillant sur les organes de celle qui hantait mes rêves agités. Oh mais papa, qu’as-tu fait à maman ?! « Je suis désolé… » De mon sourire s’étire ma sinistre confession ; déposant tout l’argent que j’ai reçu dans le revers de sa veste. «  Père, dis-moi, Quel pêcher serait plus abominable que le meurtre que tu aurais du confesser ? » soufflais-je dans un murmure à l’annonce de son tout dernier repos.

[...]

«  Quand Narcisse mourût, l’étang de son plaisir devint, d’une coupe d’eaux douces, une coupe de larmes salées, et les Oréades vinrent en pleurant à travers les bois pour dire des chansons à l’étante et le consoler. Et quand elles virent que l’étang était devenu, d’une coupe d’eaux douces, une coupe de larmes salées, elles dénouèrent les tresses vertes de leur chevelure et crièrent à l’étang et lui dirent :
- Nous ne sommes pas surprises que vous pleuriez ainsi Narcisse, il était si beau !
- Narcisse était donc beau ? dit l’étang.
- Qui peut le savoir mieux que vous ? répondirent les Oréades. Près de nous il passait sans s’arrêter, mais vous, il vous cherchait et se couchait sur votre rive et baissait ses yeux vers vous et, dans le miroir de votre onde, il mirait sa beauté.
Et l’étang répondit :
- Mais j’aimais Narcisse parce que, lorsqu’il se couchait sur ma rive et baissait les yeux vers moi, dans le miroir de ses yeux je voyais toujours le reflet de ma beauté. »

Oscar Wilde - "Le Disciple".

[…]


Ji Ho, après être retourner chez toi, la dépression s’est creuser un chemin dans ton esprit si bouleversé… Si l’odeur de cette défunte femme ne virevoltait pas dans votre foyer, tu serais déjà parti depuis bien longtemps, non ? … Quel désastre, tombant en lambeau ; ses rêves restaient scintillant dans ses songes. Bonjour, maman, bonne nuit papa. La solitude, le désespoir s’emmitouflant dans une paresse sans nom. Le chant mélodieux attiré dans les décombres sordides de cette demeure de nouveaux amis ! Chats, chiens, souris, oiseaux. Depuis, il n'entends que des bruits et des voix qui lui rendent visite. Elles venaient le réconforter la nuit lorsqu'il faisait froid, et que les larmes le submergeait dans une violence inouï. Ce garçon est si éblouissant, que ce coeur en bat la chamade rien qu’a sa vision. « Oh mon beau miroir dis-moi qui est le plus beau ? » - « Oh toi mon beau narrateur, Woo Ji Ho. » Une poupée manifestait son mécontentement ; un retard intolérable. Qu’elle chose forte plaisante, joueuse et joyeuse !  Sans l’appréhender les importuns assiège mon royaume !  Face à cette guerre, Les poupées sautillent pour fuir, «  Ai-je dit que je le pardonnais ? » En saisissant une paire de ciseau ; cachait derrière mon dos près à les attaquer. Ils étaient tous venu me saluer.. Médecins, psychiatre et infirmiers ! Ces futurs choses calcinées trouveront leur repos après cette lutte contre leur propre folie ! N’avais-je pas dit que vous payerez de vos crimes devant Dieu en personne ?! Misérable et maudit déficit ; ne touchez pas à votre divinité !

- S’il vous plait Ji Ho, vous ne pouvez pas rester ici. Depuis combien de jour vous n’avez pas manger ? »
- Nous savons que ça doit être très dur pour vous, mais… posez ces ciseaux je vous en conjure, nous voulons seulement vous aider. »


[…]


en cours de la seconde partie


CODE : « validation royale »

Habitude. Nonchalance permanente ; n'attendre, ne parler, ne voir que moi était d'une satisfaction inlassable. 'Mon dieu tu es si ridicule !' Faibles choses, je n'entends que le son agaçant percer mes tympans, bon dieu ! Symphonie quand vas-tu te mourir pour de bon... ? Le pas régulier me mène à la consultation. Psychiatres décédés en l'espace de moins d'une semaine, pour seul écho l'insignifiant : 'non merci je vais bien'.  L’envoûtante voix 'n'étant que la mienne’, se maintenant dans le silence, j'observe d'un rapidement battement ce cils ce qui semblait être toi. La pendule cesse son raisonnement stupide ; bloquée à la seconde même ou je t'ai vu. 'Chanceuse merde, que pense t-elle de moi ? Personne ne pense ainsi de moi ; que toi, alors. Hein, alors tu l'adore mon miroir, Ji Ho ? Nous sommes si proches...'  Le mépris s’orchestre pour signaler dans un faible mouvement de l'indexe la manucure parfaite ; chaque chose prétendant la perfection n'a qu’à faire si ce n'est de mourir par ma raison. Mon bon vouloir, mon ordre absolu ! La porte brise ce à quoi toute espérance est vaine ; fuite. La porte se claque ; verrouillant toute issue raisonnable. La soif de mon infime magnétisme ; 'petit être cruel, ils sont monstrueux... J'ai peur Ji Ho ; ils sont si sournois ces psychiatres... Obscures, malsains... Rendors-toi, ton hibernation n'est pas terminée.' Je ne veux plus t’entendre !
en cours


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