The fire girl with the teddy bear.



 
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The fire girl with the teddy bear.
Mar 24 Mai - 22:59
The fire girl with the teddy bear.



nom, prénom Rismark Anasthasia (Ana)
âge, date 22 ans / 12.01.94
origine Angleterre

particularités Possède une cicatrice suite à une brûlure sur une grande partie des doigts de la main droite. A toujours son ours en peluche avec elle. Se teint les cheveux en rose ou en rouge. Parfois en violet dans des périodes plus sombres.

groupe, Aile A
suivi médical

La tenir éloignée des sources de feu même si elle ne déclenche pas systématiquement une crise.
Prescription d’anxiolytiques durant les périodes de tensions ou pendant un certain temps après chaque crise.

pouvoir
Peluche Protectrice :
Spoiler:
Personnalité
Anasthasia est ce qu'on pourrait appeler, une poupée. Elle a toujours préféré les tenues amples et pleines de détails des lolitas ou des princesses et ne se soucie guère de l'aspect peu pratique de ces choses-là. Elle en porte autant que possible et en dehors de ces tenues, elle se sent nue et vous la trouverez le plus souvent dans des tenues les plus simples possibles, parfois même à la limite de la pudeur, en total contraste avec son code vestimentaire habituel.

Pour ce qui est de son attitude cependant, Ana - comme tout le monde finit par l'a surnommer un jour ou l'autre - n'ai pas une princesse. Malgré son enfance entourée de domestiques, elle n'a jamais pris goût au rôle de petite fille gâtée et n'attend jamais des autres qu'ils lui fassent cadeau de quoi que ce soit ou lui témoigne un égard particulier. En cela, elle paraîtrait parfois même réservée, son mélange d'innocence infantile, et même de candeur, parfois, lui font parfois prendre les réalités du monde en plein visage.

Mais si elle ne voit pas souvent venir le mal chez les autres et dans le monde en général à cause de son côté petite fille, malgré ses 22 ans, cela ne l'empêche pas de mûrir et d'apprendre à chacun de ces face-à-face avec la dure réalité de la vie. Elle a ainsi, une part d'elle plus mature. Une maturité bâtie sur les déceptions, les promesses rompues et les barrières que l'on doit construire pour se protéger, lorsqu'on est seule.
Car sa relation avec son père, plus qu'absent dans sa jeunesse, la marque encore aujourd'hui. Il en résulte un rejet naturel des figures d'autorité masculine et un manque de confiance dans la parole des hommes en général. Pour ce qui est de l'absence de sa mère depuis aussi longtemps qu'elle s'en souvienne, on pourrait croire sans la connaître que cela ne lui pèse absolument pas. Mais si elle a très bien grandi en acceptant le fait que sa mère n'était pas là, elle a cependant toujours inconsciemment reportée ce manque d'affection maternelle envers différentes figures féminines importantes de sa vie.

Anasthasia est une enfant que l'on a obligé à grandir trop vite. Il en résulte ainsi cette jeune femme instable, oscillant entre immaturité et sagesse cinglante sur la vie. Et entre les deux, se glisse ses troubles. Elle assure depuis le jour où l'on lui a offert, que son ours en peluche est vivant. Qu'il lui parle et peut même agir de lui-même. Elle le quitte sous aucun prétexte et ne vous avisa pas d'attirer leur colère si vous les séparez. Mais ce qui la rend vraiment dangereuse, c'est sa pyromanie. Depuis qu'elle séjourne dans des institutions psychiatriques, elle semble avoir développé une sorte de fascination pour le feu. Elle tentera par tous les moyens de se procurer un objet pouvant en créer si elle en à l'occasion, y compris en le subtilisant à autrui. Et sous le coup d'une pulsion, pourras, jouer à camper autour d'un feu de camp avec son ami Teddy l'ours en peluche... au beau milieu de sa chambre.

Pour ce qui est de ses relations avec les autres, Ana n'aime pas particulièrement être touchée, en dehors d'un seul endroit. Car si toutes tentatives de ne serait-ce que l'effleurer, la feront au minimum sursauter...et au pire... , les caresses sur sa tête, elles, la calmerons presque à coup sûr.
C'est une jeune femme qui n'a pas peur des autres dans le sens de la frayeur, mais plutôt dans l'idée qu'ils pourraient se servir d'elle ou lui mentir. Elle ne supporte pas les mensonges et lui donner votre parole équivaut à jurer sur votre vie pour elle. Elle est très sérieuse avec ce genre de chose. En temps normal cependant, c'est une fille toute à fait charmante, qui aime jouer à des jeux avec d'autres individus et qui, si on l'aide à s'ouvrir, peut-être un cœur plus rempli d'amour et de tendresse que tout ce qu'on peut imaginer.

Histoire
Ce soir-là, Anasthasia l'avait longuement attendu. Elle avait été sage, avait rangé ses jouets et avait fait ses ablutions comme le lui avait appris sa mère. Elle s'était allongée, sous les draps fraîchement lavés de son gigantesque lit. Elle n'avait que 6 ans. Et dans ce lit de princesse, elle avait l'impression de nager. Parfois, quand personne ne risquait de la surprendre la nuit, elle se glissait entièrement sous les couettes et dans l'obscurité de l'épais tissu, elle s'imaginait des mondes et des amis. Mais pas ce soir-là. Ce soir, elle devait attendre sagement. Alors elle resta allongée sur le dos, fixant la porte au bout de la pièce juste en face de son grand lit. Quand le temps commença à peser sur ses petites paupières fatiguées, elle se fit violence et commença à jouer avec ses pieds sous les couvertures en tentant de dessiner le pourtour de la porte avec ses doigts de pied.
Mais cela ne suffit pas et la petite tête blonde finit par s'assoupir, terrassée par la fatigue.

Dans ce qui semblait être un rêve, quelqu'un lui caressa les cheveux avec tendresse. Elle ouvrit les yeux et découvrit avec émerveillement, le visage de son père. Son regard était rempli d'amour... et de culpabilité à la fois. Elle lui demanda pourquoi il était en retard. Et en guise de réponse, il désigna quelque chose à l'opposé de là où s'était assis sur le lit. Anasthasia tourna la tête, mais ne vit rien d'autre que sa chambre et ses jouets endormis. Lorsqu'elle voulut se retourner pour gronder son père qui lui faisait une mauvaise blague, elle tomba nez à nez avec une bille en verre noire. Elle était froide sur le bout de son nez et quelque chose de gros était derrière. Elle recula pour mieux voir, arrêtant ainsi de loucher et pu distinguer un énorme ours en peluche. C'était un cadeau de son papa !
D'habitude, lorsqu'il lui en faisait un, elle sautait dessus ou alors au cou de son père. Mais elle semblait captivée par la peluche. Elle l'observait, la détaillait et scrutait les deux billes en verre noir qu'étaient ses yeux comme si elle y voyait quelque chose. Il semblait ancien, rafistolé, mais aussi emprunt d'une aura propre.
Son père observait les réactions de sa fille. Il ne l'avait jamais vu réagir ainsi et essayais de comprendre les émotions qui traversaient sa petite princesse. Elle finit par serrer la patte du nounours entre ses petits doigts en souriant tout en hochant la tête, avant de se tourner vers son père. Il dit qu'il s'appelle Teddy, lui avait-elle annoncée, avec un sérieux total.

Les jours et les semaines passèrent. Ana et Teddy étaient inséparables. Elle aimait jouer avec toutes ses peluches et tous ses jouets... mais aucun n'était comme son ours en peluche. Lui, il était réel. Il l'aimait et la protégeait.
Elle n'était plus seule les soirs où papa rentrait tard, à l'attendre. Elle jouait avec Teddy.
Et tout le manoir et tous les domestiques avaient dû s'y faire. Teddy faisait partie de la famille maintenant leur avait-elle dit un jour. Nombreux parmi les vieux employés marmonnaient que Madame n'aurait certainement pas accepté que sa fille s'attache autant à un jouet ; au point de le faire manger à table avec elle.
Mais son père n'était pas là pour les dîners et Teddy devenant sa seule compagnie, ils ravalaient le plus souvent leurs propos, jugeant que la petite avait bien le droit à son ami imaginaire pour tenir le coup toute seule.

Les mois s'égrenèrent, puis les années. Anasthasia grandissait, mais rien ne semblait vouloir rompre son lien avec son ours. Malgré qu'elle alla bientôt fêter ses 10 ans, elle semblait avoir développé un amour pour les robes et le style des poupées en général. Son père lui en offrait à chacun de ses retours, tentant de racheter ses absences. Il avait de l'argent et pensait qu'il pouvait acheter l'amour de sa fille.
Mais au fil des années, le père d'Ana perdait peu à peu son aura aux yeux de sa fille. Cette impression que votre papa est le plus fort, le plus beau... qu'il sera toujours là pour vous. Elle devenait chaque jour plus proche de Teddy que de son père. Et Teddy lui rendait bien. Il ne l'a laissait jamais tomber, la consolait lorsqu'elle pleurait, jouait avec elle, mangeait avec elle, faisait des bêtises avec elle. Pour ce dernier cas, il en faisait même parfois tous seul, mais personne ne la croyait quand on la forçait à avouer qui avait commis la faute et qu'elle montrait son ours du bout du doigt.
Pourquoi personne ne voit que Teddy est plus vivant que papa ?

Un jour où elle jouait avec son ami, il eut une idée de jeu. Il lui proposa de jouer aux Indiens. Pour ça, ils avaient besoin d'un feu de camp pour faire des signaux de fumées. Alors Ana alla chercher des bûches sous la cheminée du salon et la boîte de grandes allumettes posées sur le rebord pendant que personne ne regardait. Elle enveloppa le tout dans un petit tapis et emmena le paquet dans sa chambre. Elle posa ensuite les buches au centre de la pièce et le tapis près d'elle avant de gratter une allumette pour allumer son feu de camp. Après quelques essais, le bois commença à prendre feu sous le regard enthousiaste de la jeune fille. Elle prit rapidement le tapis avec son ami en peluche et ils commencèrent tous deux à l'onduler au-dessus du feu, cherchant à créer des nuages de fumée. Ana s'amusait tellement, qu'elle ne remarqua pas tout de suite que la pièce s'opacifiait rapidement. Ni que le tapis commençait à prendre feu. Elle ne comprit que lorsque les flammes vinrent lécher ses doigts, la brûlant vivement. Sous l'effet de la douleur, elle lâcha immédiatement le tissu enflammé pour venir serrer sa main contre sa poitrine en criant. Le feu commençait à se rependre.
Attirés par les cris de la petite et par la fumée s'échappant dans le couloir par les interstices de la porte, les domestiques arrivèrent rapidement. Ils purent gérer le début d'incendie et sortir Ana et Teddy de la chambre à temps.
Ils soignèrent leur jeune maîtresse avant de la sermonner. Longuement. Insistant sur la chance qu'elle avait eue et qu'elle aurait pu... mourir.
Teddy avait un peu roussi, mais rien d'irréparable. Mais Ana elle, garderait sûrement une cicatrice aux doigts pour le reste de sa vie.
Elle avait appris une importante leçon aujourd'hui : le feu est dangereux.
Le feu peut faire mal.
Le feu peut tuer.

Son père rentra en urgence, quelques jours plus tard. En apprenant la nouvelle de l'incident, il était revenu aussi vite qu'il avait pu. Il alla voir sa fille, furieuse et lui exigea des explications sur son comportement. La petite n'osait rien dire. Mais lorsque son père arriva à bout de patience, elle finit par craquer en désigna son ami en peluche. Elle ne voulait pas le dénoncer, mais elle avait trop peur que son père lui fasse du mal. Elle ne l'avait jamais mise autant en colère. Elle s'attendait à ce que son père ne la croie pas à nouveau et face comme les domestiques : la pardonne, elle qui était seule à longueur de temps.
Mais son père l'étonna et la crû. Il l'a cru tellement qu'il attrapa Teddy et prétextant qu'il avait une mauvaise influence sur elle, le pris avec lui. Et qu'il serait puni pour ses bêtises.

Elle avait dénoncé son ami. Elle l'avait trahi alors que lui, ne l'avais jamais laissé tomber ! Et il allait souffrir à cause d'elle ! Elle rattrapa son père qui sortait de sa chambre, tirant sur sa manche pour l'arrêter, mais rien ne semblait ralentir son père. Il marchait d'un pas lourd mais rapide ; décidé. Ils arrivèrent aux cuisines et Ana vit avec horreur son père ouvrir le vide-ordure qui menait à la cave. Elle hurlait, avait l'impression que son cœur se fendait en deux et lorsqu'il lança l'ours dans la trappe, elle tomba à genoux, silencieuse.
Le monde semblait avoir perdu soudainement toute couleur. Elle voyait en noir et blanc. Son choc était tel, qu'elle ne sentit pas les vieux domestiques la ramener dans sa chambre ni l'installer dans son lit. Elle était perdue, sans repère. Tout était de sa faute.
Et elle n'avait plus ni ami... ni famille.

Elle ne pouvait pas l'accepter. Elle ne pourrait pas vivre sans Teddy, elle en avait conscience maintenant. Alors, au milieu de cette nuit là, pendant que le manoir dormait, elle se glissa dans le salon, voulant attraper les allumettes de la cheminée... mais on les avait déplacés. Sans doute pour ne pas qu'elle recommence ses jeux dangereux. Mais elle savait où chercher pour arriver à ses fins. Elle remonta donc à l'étage, s'approchant du bureau de son père qui donnait ensuite sur la chambre de ce dernier. Elle se glissa sans un bruit dans la pièce et alla derrière le meuble de bureau en bois. Elle fouilla les tiroirs et finit par trouver ce qu'elle cherchait : le briquet de son père.
Elle se tourna sur la chaise, observant la vue que donna la grande baie vitrée derrière le bureau. Il faisait nuit noire. Mais elle ne pouvait plus envisager de rester ici une journée de plus. Quand l'aube se lèverait, elle serait loin. Et elle rester avec Teddy. Elle se ferait pardonner. Et ils se protégeraient l'un l'autre.
Elle attrapa le briquet dans sa petite main. Il était lourd et massif au creux de ses doigts et le métal était froid. Elle l'avait toujours trouvé beau. Elle enleva la protection et l'approcha du rideau de la fenêtre qui montait jusqu'au plafond... et alluma le feu.

Dès que les flammes eurent commencé à lécher le tissu, elle prit la fuite par là où elle était venu, toujours en essayant de se faire discrète et garde le zippo. Elle descendit les escaliers de premier puis ceux menant à la cave. Elle n'était jamais allée dans l'aile réservée à l'entretien, mais elle savait que le vide-ordure y débouchait. Quand elle trouva la benne, elle y sauta, plongeant pour retrouver son ours au plus vite. Elle finit par mettre la main dessus, enlevant les épluchures qui salissaient ses beaux poils marron. Je suis désolé Teddy... je n'ai pas été une bonne amie. Mais je suis venue te chercher et nous allons construire notre propre maison maintenant ! Rien que toi et toi !

Après ça, elle fuit dans la nuit et le feu consuma tout le manoir, prenant tous ses résidents endormis au piège. On supposa que la fille du propriétaire avait péri avec le reste des habitants dans l'incendie accidentel d'une cigarette mal éteinte.
Anasthasia fut recueillie par les services à l'adoption et on finit par lui trouver une famille d'accueil. Mais les problèmes ne s'arrêtèrent pas là. Après plusieurs mystérieux départs d'incendie dans ses familles d'accueil, elle finit par être placée au sein d'un établissement psychiatrique à l'âge de 14 ans. Une fois sur place, elle aurait développé une forme de fascination étrange pour tout ce qui était attrait au feu et après de nouveaux incidents, elle fut conduite à changer plusieurs fois d'institut à travers le monde. La vingtaines passée, elle finit par arriver à Echoes of Silence, dernier recours à ses pulsions pyromane.

code du règlement VALIDATION LUXURIEUSE

prénom, pseudo Kira (Ou Nyuh)
âge 22 ans, tous comme ma petite Annie, enfin, Ana

comment tu nous as découvert ? Grâce au clan de Infinite-RPG
des commentaires/suggestions/critiques sur le forum ? Euh...

un dernier discours à nous faire? Quelle distance atteindras la flèche tirée par un arc composite avec un vent de face de force 3 ?



Dernière édition par Anasthasia Rismark le Mer 25 Mai - 20:46, édité 2 fois
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